Comment introduire plus d’autonomie et de résilience dans sa maison 1/2 ?

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La crise sanitaire que nous traversons confine la plupart d’entre nous à la maison. Tout d’un coup il nous faut devenir plus autonome. C’est un moment inédit depuis des décennies. Une grande majorité de la population n’a pas vécu les confinements des conflits armés du début du XXème siècle. Nous n’y sommes donc pas préparé, ni matériellement, ni mentalement. On prend conscience brutalement que l’on est dépendant de tout ou presque pour notre vie quotidienne et notre confort : alimentation, eau, énergie, internet, travail, transport, premières nécessités…

Une période comme celle-là est incertaine, imprévisible. Ce qui peut la rend anxiogène. Il faut changer nos habitudes, nos projets et sans aucun doute modifier notre mode de vie pour limiter les consommations de ressources. Tout ça pendant une période indéterminée. 

Alors, quels enseignements doit-on en tirer pour notre vie quotidienne ? Que faire au-delà de cette crise qui finira par passer ? Comment être mieux préparé lors de la prochaine crise ? Quelles sont les choses essentielles à privilégier ? Notamment, comment introduire plus d’autonomie et de résilience dans sa maison ?

Je vais aborder dans cet article certaines choses que j’ai déjà mises en place et d’autres que j’aimerais expérimenter et que j’ai pu voir ailleurs. Les sujets traités parlent donc de choses matérielles qui participent à plus d’autonomie dans la maison pour limiter la dépendance et donc le stress qui peut y être associé. 

Je présente également dans le dernier paragraphe un autre outil, non matériel, pour vous aider à traverser cette crise de façon plus apaisée (et peut-être la prochaine). Ça s’écarte du thème de ce blog donc j’en fais juste une courte introduction mais je pense qu’il peut vous être utile également. En tout cas vous me direz dans les commentaires ce que vous en pensez 🤗! 

Enfin, cet article étant beaucoup plus long que d’habitude, je le publie en 2 parties. Voici donc la première où l’on traite de la question de l’énergie et de l’eau. Dans la seconde on voit comment trouver plus d’autonomie dans d’autres secteurs du quotidien : assainissement, alimentation, ressources courantes, cadre de vie

Autonomie : de quoi parle-t-on ?

Un sujet vaste et protéiforme

La question de l’autonomie est très présente dans les publications autour de la construction durable. Et cela va continuer avec les événements actuels. Tant mieux, c’est un sujet passionnant qui mérite de rencontrer une audience plus large. Pour ma part c’est un sujet qui m’intéresse depuis longtemps également. Autonomie énergétique, alimentaire, matérielle, constructive, le sujet est vaste et protéiforme.  

Une petite précision pour débuter : je ne suis pas un fan de l’autonomie totale au sens de « coupé du monde », seul sur mon terrain sans besoin de personne ni d’aide extérieure. Et pourtant je ne suis pas particulièrement quelqu’un qui a besoin de « voir du monde ». Je suis plutôt solitaire. Mais je pense que d’une part l’autonomie totale n’est pas vraiment possible (il faut toujours des moyens extérieurs pour atteindre cette autonomie et la maintenir) et surtout ça n’a pas vraiment de sens aujourd’hui dans une société dense où l’entraide et la collaboration sont essentielles. 

Ce qui m’intéresse c’est d’abord de comprendre de quoi nous sommes dépendants et comment réduire cette dépendance pour augmenter ma capacité à m’adapter, à être résilient

Un intérêt collectif

Pour moi, l’intérêt de l’autonomie c’est avant tout la possibilité de soulager, de délester le monde qui nous entoure d’une partie de nos besoins quand c’est nécessaire. Si je produis l’énergie dont j’ai besoin, alors je peux « libérer » ma place sur le réseau électrique pour quelqu’un d’autre par exemple. Et ça n’a pas forcément besoin d’être permanent non plus. 

On le voit en ce moment avec le confinement pour le coronavirus. Le but du confinement n’est pas uniquement de nous empêcher de tomber malade, c’est aussi de limiter les accidents de la vie quotidienne (route, travail, sport…) pour libérer des lits pour les futurs malades atteints du COVID-19. La capacité à être autonome, et donc à rester chez soi, profite ainsi aux personnes qui ont vraiment besoin d’aide.  

L’autonomie, ou plus précisément la recherche de l’autonomie c’est peut-être aussi une façon de reprendre son destin en main, de tourner le dos à la société de consommation qui nous pousse à toujours plus d’excès et détruit la planète qui nous fait vivre. Chacun-e y trouvera sa propre définition, avec ses contours, ses couleurs : une autonomie choisie et adaptée à ses aspirations. 

Autonomie : par où commencer ?

L’énergie

C’est souvent la première chose à laquelle on pense : comment aller vers plus d’autonomie énergétique

Si l’on prend les choses dans le bon sens, la première chose à faire (et c’est d’ailleurs aussi le cas pour toutes les rubriques qui suivent), c’est d’abord de travailler à limiter ses besoins superflus. Moins on a de besoins, moins on doit produire de ressources pour les satisfaire. La base de l’écologie en somme. 

Le confinement actuel est alors un exercice grandeur nature qui aide à se rendre pleinement compte de ce que l’on consomme. 

Revenons à l’énergie. Les principes pour réduire les besoins énergétiques d’une maison sont décrits dans ce blog , vous trouverez les articles associés en tapant « bioclimatisme » ou « énergie » dans la barre de recherche latérale. 

Dans cet article, je vais maintenant lister les dispositifs que j’ai sélectionné pour aller vers plus d’autonomie et plus de résilience. Les voici :

  • Les panneaux solaires photovoltaïques : une installation de 3 kWc (soit environ 10 panneaux pour une surface totale installée de 16 m² et un investissement de 6600 € HT) produit en moyenne entre 3000 et 4000 kWh/an d’électricité. Dans mon cas, ma consommation électrique annuelle est de 1250 kWh en 2019 (échoppe de 90 m² à Bordeaux avec 3 occupants). Pour le chauffage et l’eau chaude je suis au gaz et cela représente 6600 kWh en 2019. En faisant une simulation avec l’outil gratuit AutoCalsol développé par l’Institut National de l’énergie solaire (INES) (voir rubriques Ressources en bas de l’article), j’arrive au constat suivant : production-consommation

La production mensuelle de 10 panneaux solaires dépasse ma consommation

Ces 10 panneaux produisent plus en cumulé que ma consommation électrique. Mais cette production est-elle bien répartie ? Quel est le degré d’autonomie réellement obtenu quand on tient compte du profil horaire de mes consommations ?

Les camemberts ci-dessous, issus de cette même simulation avec AutoCalsol montrent dans cet exemple, la part de l’énergie horaire autoconsommée et celle injectée dans le réseau public (« Autoconsommation »), puis la part de l’énergie horaire autoproduite et celle soutirée du réseau (« Autonomie »).

autoconsommation

autonomie

On constate que, en considérant la consommation à l’heure, l’autonomie réelle n’est alors que de 45,3% (en l’absence de dispositif de stockage). Car évidemment les panneaux ne produisent pas la nuit alors qu’il y a effectivement des besoins. Il faut alors prendre l’électricité sur le réseau. Ainsi, plus de 84% de l’énergie produite par les panneaux est en fait réinjectée dans le réseau public. Ce n’est pas pour autant de l’énergie perdue car elle s’ajoute ainsi à la part d’électricité renouvelable produite en France. Et pour le propriétaire de l’installation c’est une source de revenu non négligeable. Voici ce que le cas précédent donne avec l’outil AutoCalsol du point de vue financier :etude-economique

Bilan financier de l’installation photovoltaïque (PV) de 3 kWc

Dans le cas d’une injection partielle (autoconsommation de l’énergie produite autant que possible), la facture annuelle sur les 30 prochaines années baisse à 79 € / an au lieu de 297 € / an sans installation photovoltaïque (l’investissement initial est pris en compte évidemment). Si l’on choisit de revendre toute l’électricité produite (mais ce n’est pas le but dans une recherche d’autonomie), l’installation est même totalement amortie au bout de 17,5 ans. En outre, le site donne également le temps de retour énergétique du projet, c’est-à-dire combien de temps le système photovoltaïque doit fonctionner pour compenser l’énergie et les émissions de CO2 associées à la fabrication du système en premier lieu. Dans mon cas, le temps de retour énergétique est atteint au bout de 1,8 ans.

Pour aller vers plus d’autonomie il faut ensuite investir dans des batteries de stockage. Toujours avec le cas précédent, si l’on ajoute une capacité de stockage de 2000 Wh (avec 2 batteries de 90Ah en 12V par exemple), on obtient les résultats suivants : 

autoconsommation-du-01-j (1) autonomie-du-01-jan-au-3 (1)

Dans cette configuration, la part d’électricité autoconsommée passe à 30% (au lieu de 16% sans batterie) et surtout, l’autonomie grimpe à presque 90% (86,7%) ! Attention, il n’est ensuite pas très rentable d’augmenter la capacité de stockage car l’autonomie ne progresse plus aussi vite. Le ratio coût investi / gain d’autonomie se dégrade alors. En effet, en doublant la capacité de stockage à 4000 Wh, l’autonomie n’est « que » de 94,8%.

Enfin, pour réaliser votre installation vous-même je vous indique dans la rubrique Ressources quelques revendeurs spécialisés (en ligne). 

Dans l’hypothèse où j’utiliserais également l’électricité pour l’eau chaude et le chauffage de la maison (consommation annuelle totale de 7850 kWh) alors la part d’autonomie serait de 31,3% sans batterie et de 36,8% avec 2000 Wh de stockage. 

Pour viser une certaine autonomie il vaut mieux donc ne pas miser sur l’électricité solaire pour la production d’eau chaude et de chauffage. Les taux de couverture ne sont pas suffisants. Et c’est quand on en a le plus besoin (en hiver) que le soleil est le moins présent.

Pour le cas de l’eau chaude sanitaire, les panneaux solaires thermiques offrent une bonne alternative si l’on veut un peu d’autonomie.

  • Les panneaux solaires thermiques : une installation d’1 panneau (2,3 m² environ) peut ainsi suffire à couvrir près de 45% des besoins annuels en eau chaude (valeur obtenue à l’aide de l’outil « Solo » de Tecsol (voir Ressources) pour un besoin de 100 L/jour d’eau chaude à 60°C avec un volume de stockage de 300 L, un panneau incliné à 45° par rapport au sol et orienté au Sud à Bordeaux).   

Pour le chauffage, la meilleure énergie actuellement disponible dans une perspective d’autonomie est probablement le bois. 

  • L’énergie bois : aujourd’hui les systèmes de chauffage à granulés (ou pellets) comme les poêles ou les chaudières connaissent un fort succès. Outre le confort apporté par la combustion du bois et l’ambiance chaleureuse que cela procure, le bois a beaucoup d’avantages dans une recherche d’autonomie. Son principal est que c’est une ressource renouvelable et que l’on peut la stocker. À l’inverse du gaz qui vient directement des réseaux de ville (environ 25% des ménages se chauffent au gaz), il est possible de stocker la quantité de bois nécessaire pour une période donnée. En cette période de confinement liée au COVID-19, on n’est alors pas tributaire du fonctionnement du réseau de gaz. Ainsi on peut compter 1 sac de 20 kg de pellets pour assurer 24 h de chauffage en hiver pour une maison standard d’environ 90 m². Une palette de pellets représente ainsi 1 tonne de combustible soit environ 50 jours d’autonomie en chauffage. Et cela occupe une surface au sol d’1 m² sur 1 m 40 de hauteur. Pour l’eau chaude sanitaire, les chaudières à granulés ou les chaudières à bûches sont plus adaptées que les poêles car elles possèdent une plus grande puissance. 

Bien sûr, ces dispositifs sont plus faciles à mettre en place pour de l’habitat individuel car il faut une toiture pour les panneaux et de l’espace pour le stockage du bois. Mais il existe également des cas d’habitats collectifs au sein desquels les co-habitants ont fait le choix de cette quête d’autonomie. C’est le cas notamment de l’habitat participatif Eco’n’home à Tours ou encore Les Courtils à Bazouges-Sous-Hédé près de Rennes.  

L’eau

Avec l’énergie, l’eau est la ressource la plus importante quand on parle d’autonomie. Indispensable à notre vie quotidienne, elle est un enjeu majeur. En France, chaque personne utilise en moyenne 120 litres d’eau par jour. Alors peut-on réellement être « autonome » en eau ? Comment s’assurer d’avoir une eau de qualité ? Et d’où vient l’eau lorsqu’on recherche l’autonomie ?

Il y a d’abord 2 solutions pour trouver de l’eau (qui peuvent être couplées) : le puits et l’eau de pluie. Bien souvent, les « autonomistes » qui démarrent leur projet cherchent d’abord un terrain sur lequel il y a de l’eau pour y installer un puits. Pour cela ils font parfois appel à un sourcier ou alors ils se forment eux-même à la radiesthésie et à l’utilisation de moyen de détection : pendule, baguette en noisetier ou en métal. Leur « pouvoir » reste encore assez inexpliqué aujourd’hui. De nombreuses études scientifiques (la plus importante ayant été réalisée par l’Université de Munich en 1986 à partir de 500 candidats sourciers) ont en effet démontré que le taux de réussite des sourciers n’étaient pas supérieur à un seuil limite fixé à l’avance. En résumé les sourciers n’obtenaient pas de meilleurs résultats que le simple hasard. Pourtant, de tout temps, des sourciers se sont fait connaître par leurs découvertes miraculeuses. Parmi celles-ci, il y a l’histoire de Barthélémy Bléton, un enfant sourcier qui a trouvé la source du Trianon du château de Versailles alors que tous les ingénieurs du Roi cherchaient depuis des décennies comment détourner l’eau des fleuves avoisinants pour alimenter le château ! 

Bon, si vous n’êtes pas sourcier 😋 alors il vous reste l’eau de pluie ! En France, la pluviométrie annuelle varie entre 500 et 2500 mm/an. C’est-à-dire qu’il tombe entre 500 et 2500 litres d’eau sur chaque m² du territoire. C’est autant d’eau que l’on peut potentiellement récupérer

Prenons le cas de ma maison à Bordeaux par exemple. La pluviométrie enregistrée à la station météorologique de Bordeaux-Mérignac est de 997 mm en 2019 (voir la rubrique Ressources). C’était une année assez intense en terme de précipitation malgré les fortes chaleurs de l’été. La toiture de la maison fait environ 50 m². Elle reçoit donc au total 997*50 = 49 850 Litres soit presque 50 m3 d’eau de pluie en 1 an.  

Ma consommation d’eau (du réseau) en 2019 a été dans le même temps de 86 m3. Donc dans l’hypothèse (idéale) où toute l’eau de pluie captée sur la toiture est réutilisée dans la maison, j’arriverais à une autonomie de 58%. En faisant quelques efforts supplémentaires pour réduire ma consommation d’eau (par exemple de 20%), alors l’autonomie devient presque atteignable, proche des 80%.  

Sauf que la réutilisation de l’eau de pluie est soumise à une réglementation spécifique. La loi n’autorise pas l’usage de l’eau de pluie pour l’alimentation (sauf si le réseau d’eau potable n’existe pas près de chez vous). Les usages autorisés sont : évacuer les eaux des WC (chasse d’eau), nettoyer les sols, nettoyer le linge, et tous les usages extérieurs (arrosage, nettoyage). Tout cela sous réserve d’assurer un traitement des eaux adapté et d’avoir un réseau dédié et bien identifié. 

Donc quelle part de mes besoins peut être in fine couverte par l’eau de pluie récupérée ?

Le Centre d’Information sur l’Eau (Cieau) estime que 93% de notre consommation d’eau est dédiée à l’hygiène et au nettoyage et seulement 7% à l’alimentation (boisson et cuisine). Donc sur mes 86 m3 d’eau consommée en 2019, environ 6 m3 ne pourraient pas être obtenus à partir de l’eau de pluie. 

Quoiqu’il en soit, pour pouvoir réutiliser l’eau de pluie il faut un dispositif de captation, de stockage, de filtration (pour les usages intérieurs) et de distribution de l’eau dans la maison. Il est également obligatoire de prévoir et d’entretenir un disconnecteur pour assurer une déconnexion totale du réseau d’eau récupérée avec le réseau public d’eau potable. Voici les éléments qui constituent habituellement une installation autonome et fonctionnelle :

  • Le préfiltre : après avoir collecté les eaux de pluie sur la toiture, on l’envoie vers un préfiltre. Il sert à bloquer les grosses particules, mousses, sables, feuilles, insectes. C’est la plupart du temps un panier avec une maille relativement grossière. Il faut le vider de temps en temps pour qu’il ne s’obstrue pas (et plus régulièrement en automne).
  • La cuve de stockage : l’eau de pluie est ensuite dirigée gravitairement vers la cuve de stockage. Pour le dimensionnement de la cuve, on peut utiliser la formule suivante : Volume de la cuve = [(Volume récupérable + Besoins annuels) / 2] * 21/365. L’idée ici est d’avoir une autonomie pour a minima 21 jours, même s’il n’y a pas de précipitations. Dans mon cas ce calcul donne V = [(50+86)/2] * 21/365 = 6,4 m3. En réduisant de 20% mes besoins comme évoqué plus haut une cuve de 5 m3 pourrait donc suffire.  
  • La pompe et le ballon tampon : la pompe prend l’eau de la cuve et l’envoie vers un ballon tampon sous pression. Plus petit (60 litres par exemple), il permet d’avoir toujours une réserve d’eau sous pression et donc de garder le réseau d’eau de la maison sous pression également (généralement 3 bars comme dans le réseau public). Un filtre à sable est parfois placé en amont de la pompe pour la préserver. 
  • Les filtres : il y en a généralement 2. Un premier filtre en coton de 20 microns puis un second au charbon actif de 5 microns. Ces filtres sont à changer tous les 6 mois environ. Ils coûtent moins de 10 € pièce. Le filtre au charbon actif permet notamment d’éliminer les odeurs, le chlore, etc… À la sortie de ce filtre, l’eau peut être utilisée pour le nettoyage de la maison, laver la vaisselle, le linge et l’hygiène corporelle (et les WC évidemment mais on y reviendra dans la suite de l’article). 
  • Le purificateur : pour la boisson et la cuisine (dans le cas où vous pouvez le faire), il faut stériliser l’eau pour la rendre potable. Cela peut se faire via une lampe UV, un système à osmose inverse ou encore un filtre céramique – charbon actif de 0,9 micron. Certains utilisent autrement un distillateur pour purifier l’eau. Cette méthode a ses détracteurs car il n’est pas conseillé de boire une eau déminéralisée. Dans ce cas, pour reminéraliser l’eau « pure », on peut ajouter un vortex magnétique cuivre-or-argent et un biodynamiseur. 

Pour aller plus loin

Cet article étant plus long que d’habitude, la suite de ce sujet fait l’objet d’un second article sur le blog. Nous y abordons les sujets connexes suivants liés à l’autonomie et la résilience : assainissement, alimentation, ressources courantes, cadre de vie.

Vous pouvez également lire d’autres articles sur le blog :

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Ressources

Voici les liens pour approfondir les sujets abordés dans cet article :

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